de notre ambassadeur Eugénio de Sá Portugal
mas o mundo ainda não despertou!
E o mundo acordou estremunhado nessa manhã de Agosto, espreguiçou a sua proverbial indiferença,
e sobressaltou-se com o que lhe chegava pela televisão; a Amazónia estava a arder Mas umas horas depois já esquecera a notícia, embora a locutora de serviço repetisse que já havia ardido um área equivalente a quatro milhões de campos de futebol!
Os sinais da desgraça estão aí;
No topo do mundo os gelos cedem à continuada subida da temperatura provocada pelas emissões dos gases venenosos para a atmosfera.
As florestas – pulmões do mundo – ardem sem contenção. Os oceanos que cobrem a maior parte da terra, têm jazidas de plástico que, medidas em toneladas, pesam já mais que os peixes que neles existem.
Como preconizou Álvaro de Campos em 1917;
os mandarins do mundo precisam que lhes seja emitido um mandado de captura, tal a sua insensibilidade, a sua cedência à ganância que então já grassava nos países que julgavam dominar.
Hoje, volvido mais de um século, eles aí estão, com os vícios atávicos perpetuados pelos que lhes sucederam. Serão só gente fraca, ou inconscientes mentecaptos que estão a condenar ao aniquilamento
todos os seres vivos do planeta?
Diz-se, com inexplicável utopia, que as ameaças que pairam sobre a humanidade ainda podem ser reversíveis. Já não são, infelizmente.
Aliás, quando se reúnem, no rosto dos mandantes do G7 (os sete países mais poderosos do planeta), há sempre um conjunto de estranhos sorrisos, a roçar o estulto, de pessoas que querem passar ao mundo uma mensagem de paz e de tranquilidade, que não corresponde, de todo, ao que se passa. Mas eles parecem indiferentes às catástrofes que se vão multiplicando, expressas no agravar dos fenómenos meteorológicos, como os grandes furacões que assolam a terra em quase todas os quadrantes geográficos.
Entretanto, o cronista baixa a guarda, desiste de continuar, consciente da inutilidade do seu insistente alerta.
E adormece num sono intranquilo, sofrido.
******************************
L'Amazonie Brûle
mais le monde ne s'est pas encore réveillé!
Et le monde s'est réveillé alarmé ce matin d'août, a étendu son indifférence proverbiale,
et a été surpris par ce qui lui est venu à la télévision;
l’Amazonie était en feu Mais quelques heures plus tard, elle avait oublié la nouvelle, bien que l’annonceur ait répété qu’elle avait déjà brûlé une superficie équivalente à quatre millions de terrains de football!
Les signes de malheur sont là;
Au sommet du monde, la glace cède à la hausse continue de la température causée par les émissions de gaz toxiques dans l'atmosphère.
Les forêts - poumons du monde - brûlent sans contrainte. Les océans qui recouvrent la majeure partie des terres ont des dépôts de plastique qui, mesurés en tonnes, dépassent déjà leurs poissons.
Tel que préconisé par Alvaro de Campos en 1917;
Les mandarins du monde doivent recevoir un mandat d'arrêt, par exemple pour leur insensibilité, leur soumission à la cupidité qui faisait déjà rage dans les pays qu'ils pensaient avoir dominés.
Aujourd'hui, plus d'un siècle plus tard, ils sont là, avec les vices ataviques perpétués par leurs successeurs. Est-ce juste des personnes faibles ou des intimidateurs inconscients qui condamnent l'annihilation?
tous les êtres vivants sur la planète?
On dit, avec une utopie inexplicable, que les menaces pesant sur l’humanité peuvent encore être réversibles. Non plus malheureusement.
En passant, quand ils se rencontrent devant les mandants du G7 (les sept pays les plus puissants de la planète), il y a toujours un ensemble de sourires étranges, frôlant la sottise, de gens qui veulent transmettre au monde un message de paix et de tranquillité, cela ne correspond pas du tout à ce qui se passe. Mais ils semblent inconscients des catastrophes qui se multiplient et qui se traduisent par une aggravation des phénomènes météorologiques, comme les grands ouragans qui frappent la Terre dans presque tous les quarts de cercle.
Cependant, le chroniqueur baisse la garde, abandonne la poursuite, conscient de la futilité de ses avertissements insistants.
Et s'endort dans un sommeil pénible et souffrant.
mais le monde ne s'est pas encore réveillé!
Et le monde s'est réveillé alarmé ce matin d'août, a étendu son indifférence proverbiale,
et a été surpris par ce qui lui est venu à la télévision;
l’Amazonie était en feu Mais quelques heures plus tard, elle avait oublié la nouvelle, bien que l’annonceur ait répété qu’elle avait déjà brûlé une superficie équivalente à quatre millions de terrains de football!
Les signes de malheur sont là;
Au sommet du monde, la glace cède à la hausse continue de la température causée par les émissions de gaz toxiques dans l'atmosphère.
Les forêts - poumons du monde - brûlent sans contrainte. Les océans qui recouvrent la majeure partie des terres ont des dépôts de plastique qui, mesurés en tonnes, dépassent déjà leurs poissons.
Tel que préconisé par Alvaro de Campos en 1917;
Les mandarins du monde doivent recevoir un mandat d'arrêt, par exemple pour leur insensibilité, leur soumission à la cupidité qui faisait déjà rage dans les pays qu'ils pensaient avoir dominés.
Aujourd'hui, plus d'un siècle plus tard, ils sont là, avec les vices ataviques perpétués par leurs successeurs. Est-ce juste des personnes faibles ou des intimidateurs inconscients qui condamnent l'annihilation?
tous les êtres vivants sur la planète?
On dit, avec une utopie inexplicable, que les menaces pesant sur l’humanité peuvent encore être réversibles. Non plus malheureusement.
En passant, quand ils se rencontrent devant les mandants du G7 (les sept pays les plus puissants de la planète), il y a toujours un ensemble de sourires étranges, frôlant la sottise, de gens qui veulent transmettre au monde un message de paix et de tranquillité, cela ne correspond pas du tout à ce qui se passe. Mais ils semblent inconscients des catastrophes qui se multiplient et qui se traduisent par une aggravation des phénomènes météorologiques, comme les grands ouragans qui frappent la Terre dans presque tous les quarts de cercle.
Cependant, le chroniqueur baisse la garde, abandonne la poursuite, conscient de la futilité de ses avertissements insistants.
Et s'endort dans un sommeil pénible et souffrant.
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but the world has not woken yet!
And the world woke up alarmed this morning of August, extended its proverbial indifference,
and was surprised by what came to him on television;
the Amazon was on fire But a few hours later, she had forgotten the news, although the advertiser repeated that it had already burned an area equivalent to four million football fields!
The signs of misfortune are there;
At the top of the world, the ice is giving way to the continuous rise in temperature caused by emissions of toxic gases into the atmosphere.
The forests - lungs of the world - burn without constraint. The oceans that cover most of the land have plastic deposits that, measured in tons, already exceed their fish.
As advocated by Alvaro de Campos in 1917;
The mandarins of the world must receive a warrant for arrest, for example for their insensitivity, their submission to the greed that was already raging in the countries they thought they had dominated.
Today, more than a century later, they are there, with the atavistic vices perpetuated by their successors. Is it just weak people or unconscious bullies who condemn annihilation?
all living things on the planet?
It is said, with an inexplicable utopia, that the threats to humanity can still be reversed. No more unfortunately.
By the way, when they meet in front of the G7 constituents (the seven most powerful countries on the planet), there is always a set of strange smiles, bordering on foolishness, of people who want to transmit to the world a message of peace and of tranquility, that does not correspond at all to what is happening. But they seem unaware of the increasing number of disasters that are resulting in worsening meteorological phenomena, such as the big hurricanes that hit the Earth in almost every quarter of the circle.
However, the chronicler lowers the guard, abandons the pursuit, aware of the futility of his insistent warnings.
And falls asleep in a painful and painful sleep.
but the world has not woken yet!
And the world woke up alarmed this morning of August, extended its proverbial indifference,
and was surprised by what came to him on television;
the Amazon was on fire But a few hours later, she had forgotten the news, although the advertiser repeated that it had already burned an area equivalent to four million football fields!
The signs of misfortune are there;
At the top of the world, the ice is giving way to the continuous rise in temperature caused by emissions of toxic gases into the atmosphere.
The forests - lungs of the world - burn without constraint. The oceans that cover most of the land have plastic deposits that, measured in tons, already exceed their fish.
As advocated by Alvaro de Campos in 1917;
The mandarins of the world must receive a warrant for arrest, for example for their insensitivity, their submission to the greed that was already raging in the countries they thought they had dominated.
Today, more than a century later, they are there, with the atavistic vices perpetuated by their successors. Is it just weak people or unconscious bullies who condemn annihilation?
all living things on the planet?
It is said, with an inexplicable utopia, that the threats to humanity can still be reversed. No more unfortunately.
By the way, when they meet in front of the G7 constituents (the seven most powerful countries on the planet), there is always a set of strange smiles, bordering on foolishness, of people who want to transmit to the world a message of peace and of tranquility, that does not correspond at all to what is happening. But they seem unaware of the increasing number of disasters that are resulting in worsening meteorological phenomena, such as the big hurricanes that hit the Earth in almost every quarter of the circle.
However, the chronicler lowers the guard, abandons the pursuit, aware of the futility of his insistent warnings.
And falls asleep in a painful and painful sleep.
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¡pero el mundo aún no se ha despertado!
Y el mundo se despertó alarmado esta mañana de agosto, extendió su indiferencia proverbial,
y se sorprendió por lo que le llegó en televisión;
el Amazonas estaba en llamas ¡Pero unas horas más tarde, se había olvidado de la noticia, aunque el anunciante repitió que ya había quemado un área equivalente a cuatro millones de campos de fútbol!
Los signos de la desgracia están ahí;
En la cima del mundo, el hielo está dando paso al aumento continuo de temperatura causado por las emisiones de gases tóxicos a la atmósfera.
Los bosques, los pulmones del mundo, arden sin restricciones. Los océanos que cubren la mayor parte de la tierra tienen depósitos de plástico que, medidos en toneladas, ya superan a sus peces.
Como defendió Álvaro de Campos en 1917;
Los mandarines del mundo deben recibir una orden de arresto, por ejemplo, por su insensibilidad, su sumisión a la avaricia que ya estaba furiosa en los países que creían haber dominado.
Hoy, más de un siglo después, están allí, con los vicios atávicos perpetuados por sus sucesores. ¿Son solo las personas débiles o los matones inconscientes quienes condenan la aniquilación?
todos los seres vivos del planeta?
Se dice, con una utopía inexplicable, que las amenazas a la humanidad aún pueden revertirse. No más por desgracia.
Por cierto, cuando se encuentran frente a los integrantes del G7 (los siete países más poderosos del planeta), siempre hay una serie de sonrisas extrañas, casi tontas, de personas que quieren transmitir al mundo un mensaje de paz y paz. de tranquilidad, que no corresponde en absoluto a lo que está sucediendo. Pero parecen ignorar el creciente número de desastres que están empeorando los fenómenos meteorológicos, como los grandes huracanes que azotan la Tierra en casi cada cuarto del círculo.
Sin embargo, el cronista baja la guardia, abandona la persecución, consciente de la inutilidad de sus insistentes advertencias.
Y se duerme en un sueño doloroso y doloroso.
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ma il mondo non si è ancora svegliato!
E il mondo si è svegliato allarmato questa mattina di agosto, ha esteso la sua proverbiale indifferenza,
e fu sorpreso da ciò che gli venne in televisione;
l'Amazzonia era in fiamme Ma poche ore dopo, aveva dimenticato la notizia, sebbene l'inserzionista avesse ripetuto che aveva già bruciato un'area equivalente a quattro milioni di campi di calcio!
I segni di sfortuna ci sono;
Nella parte superiore del mondo, il ghiaccio sta cedendo il passo al continuo aumento della temperatura causato dalle emissioni di gas tossici nell'atmosfera.
Le foreste - polmoni del mondo - bruciano senza vincoli. Gli oceani che coprono la maggior parte della terra hanno depositi di plastica che, misurati in tonnellate, superano già i loro pesci.
Come sostenuto da Alvaro de Campos nel 1917;
I mandarini del mondo devono ricevere un mandato di arresto, ad esempio per la loro insensibilità, la loro sottomissione all'avidità che stava già imperversando nei paesi che pensavano di aver dominato.
Oggi, più di un secolo dopo, sono lì, con i vizi atavici perpetuati dai loro successori. Sono solo le persone deboli o i bulli inconsci a condannare l'annientamento?
tutti gli esseri viventi sul pianeta?
Si dice, con un'utopia inspiegabile, che le minacce all'umanità possano ancora essere invertite. Non più purtroppo.
A proposito, quando si incontrano di fronte ai componenti del G7 (i sette paesi più potenti del pianeta), c'è sempre una serie di strani sorrisi, al confine con la follia, delle persone che vogliono trasmettere al mondo un messaggio di pace e di tranquillità, che non corrisponde affatto a ciò che sta accadendo. Ma sembrano inconsapevoli del numero crescente di disastri che stanno causando un peggioramento dei fenomeni meteorologici, come i grandi uragani che colpiscono la Terra in quasi ogni quarto del cerchio.
Tuttavia, il cronista abbassa la guardia, abbandona l'inseguimento, consapevole dell'inutilità dei suoi insistenti avvertimenti.
E si addormenta in un sonno doloroso e doloroso.
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но мир еще не проснулся!
И мир проснулся встревожен этим утром августа, продлил свое пресловутое безразличие,
и был удивлен тем, что пришло к нему по телевидению;
Амазонка была в огне Но через несколько часов она забыла эту новость, хотя рекламодатель повторил, что она уже сожгла территорию, эквивалентную четырем миллионам футбольных полей!
Признаки несчастья есть;
На вершине мира лед уступает место постоянному повышению температуры, вызванному выбросами токсичных газов в атмосферу.
Леса - легкие мира - горят без ограничений. В океанах, которые покрывают большую часть суши, есть пластовые отложения, которые, измеряемые в тоннах, уже превышают их рыбы.
Как отстаивал Альваро де Кампос в 1917 году;
Мандарины мира должны получить ордер на арест, например, из-за своей бесчувственности, покорности жадности, которая уже бушевала в тех странах, которые, по их мнению, доминировали.
Сегодня, более чем через столетие, они там, с атавистическими пороками, увековеченными их преемниками. Это просто слабые люди или неосознанные хулиганы, которые осуждают уничтожение?
все живые существа на планете?
С необъяснимой утопией говорится, что угрозы человечеству все еще можно обратить вспять. Нет больше, к сожалению.
Кстати, когда они встречаются перед членами Большой семерки (семь самых могущественных стран на планете), всегда появляется множество странных улыбок, граничащих с глупостью, людей, которые хотят передать миру послание мира и мира. спокойствия, которое совсем не соответствует тому, что происходит. Но они, кажется, не знают о растущем количестве стихийных бедствий, которые приводят к ухудшению метеорологических явлений, таких как сильные ураганы, которые обрушиваются на Землю почти в каждой четверти круга.
Однако летописец понижает охрану, отказывается от погони, осознавая тщетность своих настойчивых предупреждений.
И засыпает в мучительном и мучительном сне.
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